Ce test n’est pas utile, j’ai des disque dur qui date de 10ans, avec plusieurs secteur défectueux, et il ne les détecte jamais.
C’est un test inutile.
BADBLOCK: Sur les systèmes NTFS et EXT (2,3,4) (Système Linux), il y a une auto-correction, plus performante que le FAT (16/32/ex), car en fais, un BADBLOCK sera détecté et enregistré dans un registre en cas d’écriture et vérification de cette écriture, si le secteur est mauvais, il va l’ajouter dans le registre BADBLOCK et écrire ailleurs. Ce test retourne plus de résultat avec un disque physique (HDD), sur les mémoire, le test retourne jamais d’erreur. Pour un disque mémoire (FLash, SSD, etc…) il faut un test d’écriture et une vérification des données par la suite. L’outils pour faire ça c’est; https://h2testw.org/ (H2TestW) .
Le SMART, lui n’analyse rien pour les erreurs, il est gestionnaire et interprète les registre dans l’unité du disque concerné, c’est ce même disque qui sera en mesure de détecter si il a des problèmes. Il faut interpréter ces données avec un regard précis.
Reallocated Sector Ct
: Lui est justement le nombre de fois qu’il a du déplacer une donnée du à un problème de secteur (BADBLOCK), un niveau élevé indique un problème avec le disque dur, habituellement à 0, ou moins de 100.
Reported Uncorrect
: Emplacement d’une donnée dans un secteur qui ne devrais pas être, ou donnée absent d’un secteur ou il devrai être, signe d’une perte de donnée si cette valeur est plus que 0.
Current Pending Sector
Nombre de secteur que l’unité tente de corriger, soit que le secteur a été mis en « BADBLOCK » et tente de récupérer la donnée du secteur. Si ce nombre est élevé, tu as beaucoup d’erreur de secteur qui seront signalé et rsique accru de perte de données.
ATA Error Count
Nombre d’initialisation du disque sans aboutir à un fin propre, souvent un problème d’alimentation ou perte dd’alimentation en cours de démarrage (souvent avec les HDD, car le Spin Up prend 1~10s selon le HDD). Sans s’inquiété, si ce nombre augmente sans situation qui peut en généré (fermeture toujours propre, etc…) c’est un signe que le disque dur « plante » durant sont utilisation et « reboot ».
Selon les disques (fabriquant, model, etc…) le terme peut être varié, certains offre plus d’information, d’autres moins. Un unité USB et SD ont une capacité de lecture/écriture « garantie » de 1200, dans le cas d’un SSD c’est 10000, la vie d’un unité va dépendre de la fiabilité de l’alimentation, sont temps d’activité, le nombre de lecture/écriture et quelques autres facteurs. Un HDD peut durer 10 ans en usage 24/7, un SSD, c’est environ 5 ans, un carte SD 1 an. Mais ce temps de vie n’est pas une valeur fiable.
Par exemple, voici mon disque 160GB SATA 2 sur mon NAS qui gère le OS (il ne possède que de vieux HDD);
Power On Hours : 62528 heures (7ans et des poussières)
Reallocated Sector Ct : 0
Reported Uncorrect : 2
Current Pending Sector : 0
ATA Error Count : 2
Total LBAs Written : 2562738377
Total LBAs Read : 2845477452
Runtime Bad Block : 0 Cette valeur n’est pas fiable, car je sais que ce disque possède environ 1% du total en BADBLOCK
Et bien sur d’autres information. Le SMART donne rarement « l’heure juste », c’est plus un regard rapide sur l’état, seul les tests peuvent réellement donner un résultat. Les tests avec smartctl sont souvent des « Jobs » que tu lande dans le Firmware de l’unité, les tests sont une auto-évaluation, selon une grille de paramètre, différent d’un fabriquant, model, etc… à l’autre. Alors perso, je mis fis jamais. Seul des test avec de vrai outils donne des résultat.
Sur un test de surface, ce que le BADBLOCK que tu lance fait, me donne toujours 100% ok, même sur une clé USB qui ne sauvegarde pas les données vu sont age, ou les cartes SD chinois de 32GB qui sont en fait des 8GB (donc 24GB fictif), ce teste, comme dit plutot n’est réellement pas fiable.
Le plus sains pour un disque, est d’utiliser GParted ou Minitools Partition Wizard, de supprimer les partition, si il est en MBR, de refaire la table MBR et/ou de convertir en GPT (qui marche mieux sous Linux) et de recréer une partition dans le format désiré. Sous Windows, NE JAMAIS UTILISER L’OUTILS DE WINDOWS, LE "DISKMGMT.MSC car il prépare la partition pour un usage sous Windows et travail pas mal avec un « minimum », GParted ou miniTools PW eux font un vrai travail sur le disque et prépare les partitions selon une norme propre et fiable, qui marche entre MacOS, Linux et Windows sans erreurs (si le format de fichier est pris en charge). L’outils de Windows n’est pratique que pour définir une lettre (ou changer) lorsque le disque n,est pas visible dans le Poste de Travail.
NE JAMAIS FORMATER SOUS LINUX UN DISQUE EN NTFS, même si pris en charge, il n’est pas le format officiel de Microsoft (le pilote Linux), c’est une version « retro-ingénérie » et n’est pas optimal, certaines limitations existe sur la version Linux.
Plus de 2TO (1TO dans mon avis) il faut utiliser le GPT et nom le MBR, qui va avoir de la difficulté à gérer autant d’espace.