Le Pico n’est pas un Raspberry Pi classique, il contient plusieurs différences;
Le Pico n’as pas de OS, c’est un code de démarrage à flasher sur une mémoire soudé sur le Pico, besoin d’utiliser le Serial" etc…
Le Pico est une version controller seulement, axé sur les GPIO
Le Pico est incompatible avec la plupart des chapeaux des autres Pi,
Axé domotique, pas d’nterface (UI), c’est du pur bricolage électronique
Aucune sortie vidéo (le pourquoi du point précédent)
Pas de support réseau et Wireless natif
VS
Le Pi Zero est une version du model 1 en format réduit
Le Pi Zero n’as pas de contrôleur analogique audio, celui de la video (tv), est a souder et activer,
Le Pi Zero peux avoir le Wireless (Wifi+BT), ou sans, selon la version (W et WH)
Le Pi Zero as besoin d’un OS, comme Raspbian
Dans un exemple d’usage, tu code ton Python de sensor et autres domo sur un rPi normala, une fois le code « Stable » et « Final », tu le porte sur le Pico, qui lui va rouler 24/7 a faire ton code sans le besoin d’agir avec lui. Par exemple un système de serrure à code.
Ou pour dire simple; le Pi Zero a des yeux, des oreilles, et des bras, le Pico c’est un cerveau dans un bocal.
Pour aider a visualiser certain points voici une image de Waveshare;
Au centre un Pico avec son Header pré-soudé, à gauche et a droite ce sont des place de tests pour utiliser avec certains chapeau. le LCD à droite, malgré la belle image, n’est pas une sortie standard, et repose plus sur une sortie d’image statique via le Python, que d’utiliser le pilote vidéo interne (qui est absent si je me trompe pas)
J’avais pensé utilisé le Pico (4$/ch, trop bon prix) mais j’ai vite changé d’idée, car vraiment plus domotique. Par exemple, pour l’utiliser « Facilement », je doit avoir ce Docking à 3 sections (le lien boutique) et leschapeaux doivent être conçu pour le Pico. J’avais en tête de me travailler un petit outile porte-clé avec la mini écran, mais vu mes connaissance en Python (null) et l’absence d’une interface d’accès simple pour moi (SSH par exemple), ceci aurait été une perte d’argent.
Mais si j’aurais des Pi qu’avec des sensors et du code en Python, j’aurais surement acheté une copie, question de faire le test avec de quoi qui serais déjà sous la bonne forme et testé.
Merci pour ta réponse très imagée et bien documentée.
J’avais bien noté que les autres Rpi étaient plus proches de l’ordinateur que de l’automate programmable. Néanmoins le Rpi zero « tout court », me semble déjà un « maillon intermédiaire » entre l’automate et le micro ordinateur.
Sauf erreur de ma part, le Pico est doté de 3 entrées analogiques, c’est des « yeux » que les autres modèles n’ont pas.
Pour le bricolage électronique, il n’y a pas seulement la domotique, je m’intéresse à certaines applications où une rapidité d’exécution de quelques kilohertz d’où mes interrogations sur la rapidité d’exécution.
Sur le Rpi zéro, le SSH over USB, je trouve ça un peu moyen (peut être l’ai-je pas exactement bien fait), il semblerait qe cela soit plus simple avec le pico.
La fonction OTG du Pi Zero est très intéressante, surtout avec le modèle sans le Wifi, mais avec des limites. Mis à part le fais que sans câble adéquat, tu bloc ton seul port USB, la limitation d’alimentation réduit les fonctions. Pour le SSH et autres réseau, c’est relativement facile, juste bien définir sont COM sous Windows et avoir un hostname qui n’est pas en double. Mais le OTG en mode ETHER seulement, en mode MULTI, Windows le refusera, seul Linux le prend en charge.
Et un port USB c’est du 5V/500mA, et l’usage varie selon la version; le Pi Zero (~100mA), le Pi Zero W/WH (~150mA). Après ce que tu ajoutes; HDMI c’est ~50mA, la caméra c’est ~250mA et le GPIO (I/O) dans les ~50mA. (selon Raspberry Pi Documentation - Raspberry Pi hardware ).
J’ai personnellement fais mes tests, pour le SSH, c’est simple, et tu ajoutes SAMBA et tu as de quoi encore plus pratique. Il existe des tutos pour en faire une clé Wifi etc… mais ce n’est pas des usages que je cherches. Le débit est aussi (trop) lent.
En effet, le Pi Zero est un passage de la version plus puissante, comme le Pi 3 et 4, et la version que contrôleur, comme le Pico, mais encore la faut voir les besoins.
Selon ma vision des choses;
Le RPi3 est le meilleur pour ce qui est du Desktop+Domotique, en gardant en tête l’ancien esprit du Raspberry. Il est également le plus puissant (1,2,3 comparés) en version B+.
Le RPi4 est la vision future du Raspberry, encore la est l’option la plus puissante, mais à un peu sont « Propre monde ».
Le RPi0 est la version condensé du Raspberry, avec pour but sont côté programmable, compact et économe, il le fait au détriment de la puissance. Clairement pas fait pour un usage graphique.
Le Pico est la version « Arduino » du Raspberry, avec sont absence d’interface native, il n’est plus dans la catégorie des mini ordinateurs mais des contrôleur à capacités avancés ou des cerveau commandes. Il faut être habitué au principe de « firmware », « flash rom » et des communications I/O. L’interface analogique qui est absente des autres RPi, est une facilité, mais pas un moyen de donner une sortie de type « RCA » facilement, le support « TV » est présent dans les versions OS, mais pas sur le Pico, car il y a une absence du OS, pas de « Config.txt » ou autres, pas de décodage video proprement dit. Mais doter le Pico d’une sortie vidéo à flux maintenu n’est pas une chose pratique vu l’usage CPU qu’il causerait, mais une sortie sur un écran à donnée statique, comme un LED Matrix ou un Display à basse résolution (128x128, 240x240 ou les 2x14 caractères en ligne par exemple).
Tous les Pi sont utilisables par le Raspberry Pi Imager, sauf le Pico.
Je n’utilise quasiment plus Windows et depuis bien longtemps…
Le problème mineur que je rencontrait en SSH over USB c’est que l’adresse IP du Rpi changeait, m’obligeant à faire une manip supplémentaire à chaque fois.
Il me semble que le Pico s’affranchit aussi de 2 vulnérabilités des autres Rpi:
-les problèmes d’alimentation dus à la nécessité d’un beau 5V (très) bien régulé, le pico est beaucoup plus souple.
-les problèmes liés aux fichiers temporaires et à l’usure des cartes micro SD.
Pas vraiment besoin, le « hostname.local » devrais marcher même si l’adresse IP change vue que ce nom est défini par le « nom-machine.domaine », si tu as un domaine défini sur la machine, j’imagine que « local » sera à remplacer par le domaine configuré sur la machine hôte. Après je crois qu’il y a moyen avec quelques manip de donner un IP fix sur une machine donné, ou même de forcer le Pi a fournir son IP.